Bibliotheque d'Alais
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 Les psychopathes d'Arkham

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Le Copiste
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Le Copiste


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MessageSujet: Re: Les psychopathes d'Arkham   Les psychopathes d'Arkham - Page 8 Icon_minitimeLun 12 Mar - 10:35

sylojuma
Les psychopathes d'Arkham - Page 8 411199166455845cdd0d78

Sylojuma aida Zack à fermer la porte derrière Alvin, ça y est ils étaient sauvés , elle était obstinée et ne pensait qu' à la libération ....
Elle souriait en espérant toujours voir arriver les secours , elle voulait sortir à l'air libre et pouvoir vivre l'amour enfin...
Elle avait pourtant cru à cet homme en blanc ,elle n'en revenait pas , en fait il s'était fait des provisions en les enfermant ici et les isolants des autres psychopathes qui rodaient encore dans les couloirs...
Elle eut le sentiments un moment de n'être qu'un morceau de viande dans un frigo, puis finalement elle se dit qu'elle n'avait pas froid , alors....
oups , des idées bizarres lui traversaient de nouveau l'esprit , mais elle n'en parlerait pas pour ne plus rester dans cet asile....
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Le Copiste
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MessageSujet: Re: Les psychopathes d'Arkham   Les psychopathes d'Arkham - Page 8 Icon_minitimeLun 12 Mar - 10:37

AlvinMaker
Les psychopathes d'Arkham - Page 8 17805767645278a7d07008

Le Capitaine De La Chandelle était en tête du troisième bataillon de cavalerie de l’OST d’Alais. Voilà cinq jours qu’ils avaient quitté la garnison sous les ordres de son général. Ils avaient reçu d’inquiétantes missives à propos d’une révolte à Arkham, et elles furent vite corroborées par de nombreux témoignages de rescapés qui avaient réussi à fuir la folie meurtrière qui sévissait actuellement là bas.
La première réaction de la hiérarchie avait été de laisser pourrir la situation. Apparemment, les violences étaient circonscrites à l’intérieur de l’asile, et il aurait suffi de surveiller les alentours, le temps qu’ils s’entretuent doucement. Mais ils avaient reçu un parchemin inquiétant, mentionnant des rescapés réfugiés dans une partie close du grand bâtiment, et la suspicion que là bas se trouve le fils d’un noble haut placé avait suffi à faire immédiatement réagir l’armée. De La Chandelle avait été choisi car il avait une grande expérience en matière de matage de rébellions. Il avait été en charge de calmer les foules enragées lors de la grande pénurie de Blé de 1440, c’est lui qui avait réussi à contrôler les paysans qui avaient voulu brûler le château de Montpellier suite à la levée d’une nouvelle taxe sur les rendements négatifs.
Il était vite monté en grade suite à ses hauts faits, et il se trouva naturellement en charge de cette mission.

Le petit chemin rocailleux serpentait entre les rochers sombres du désert de pierre. Voilà deux jours que lui et ses hommes chevauchaient au milieu de cette étendue aride sans avoir vu une once de verdure et de trop rares animaux. Ce paysage rendait les hommes maussades et prompts aux soulèvement, et le Capitaine devait souvent faire appel à toute son autorité pour maintenir l’ordre dans les rangs. Il n’aurait pas réussi à prévenir une mutinerie s’ils avaient du faire route encore des jours dans ces paysages désolés.
Mais ce jour là, au détour d’une saillie vertigineuse, il découvrirent le grand bâtiment au milieu d’une plaine aride. L’Asile d’Arkham avait été bâti avec les pierres du pays, si bien qu’il se fondait totalement dans le décor. Sa masse imposante se mêlait avec les hauts pics alentour. Le corps du bâtiment s’étendait sur des dizaines de mètres et s’élevait sur plusieurs étages. Chaque fenêtre était munie de lourds barreaux, et l’immense porte d’entrée était bardée de mille plaques de métal et de vis énormes donnant au tout un aspect encore plus austère. S’élevant à l’ouest de la batisse, collée à elle, une haute tour, vestige d’un ancien fortin, était dans un état de délabrement avancé, elle ne devait être d’aucune utilité à un établissement comme celui ci, et laissée à l’abandon.

Le Capitaine fit poser pied à terre à ses hommes et en envoya deux en reconnaissance. Pendant ce temps, il prépara avec son second les prémices d’un plan d’attaque alors que le reste de la troupe préparait les armes et reprenait des forces autour d’un frugal repas de viande sèche.
Le retour des éclaireurs n’avait pas permis d’en apprendre beaucoup. La seule issue était la grande porte qui devait certainement être barricadée de l’intérieur, mais, point positif, une rapide inspection de fenêtres des premiers étages avait permis de dénombrer beaucoup plus de morts que de vivants, si il devait y avoir affrontements, ils ne seraient que de simples escarmouches.
Le temps passait, et la nuit approchante annonçait le début du raid. Penché sur le plan de l’Asile, De La Chandelle mettait la dernière main à son plan dont le but principal était de rejoindre l’aile ouest du premier étage où s’étaient réfugiés les rescapés.

Puis ce fut le branle bas de combat. Le bataillon se mit en ordre de marche et s’avança dans la plaine désertique munie de torches. On avait confectionné un bélier qui permit de venir à bout de l’imposante porte d’entrée en quelques dix minutes. L’odeur nauséabonde à l’intérieur du bâtiment était dégagée par les nombreux corps qui jonchaient le sol et qui se putréfiaient sur place. Aucun bruit, si ce n’est les cliquetis des armures des soldats, ne venait interrompre la morbidité du Lieu. Ils prirent directement le couloir de droite qui menait à l’escalier du premier étage. Ils ne rencontrèrent personne, si ce n’est une parodie d’être humain, si maigre que sa camisole lui tombait aux genoux. Il s’était rué sur un soldat qui passait sans l’avoir remarqué, et il fut de suite embrochée par la lourde épée de ce dernier. Suite à cet incident, ils avaient entendu détaler quelques personnes à leur approche, comme des ombres fuyant la lumière.
Bientôt, ils se trouvèrent dans le corridor qui menait aux portes de l’aile ouest. Les cadavres étaient plus nombreux ici, mais contrairement aux autres, rares étaient ceux qui portaient une camisole, on eut dit un massacre organisé, une offrande macabre à quelques dieux de rage et de folie.
La porte à doubles battants fut enfoncée sans autre forme de procès, et ce qu’ils découvrirent là, jamais aucun de ces soldats ne l’oublierait jamais, et pendant de nombreuses nuits, cette vision de cauchemar viendraient les hanter insidieusement.
Ils s’étaient éparpillés dans l’étage, et le Colonel avait prit la tête de cinq hommes, cinq solides gaillards. Ils avaient délaissé les couloirs et avaient pénétré dans ce qui semblait être une grande salle commune, et c’est là que, pétris d’horreur, ils avaient assisté à cette vision de cauchemar.
Au milieu de la pièce était allongée une jeune femme, sans vie, ses jambes et ses bras lui avaient été arrachés et avaient été disposés en croix près d’elle. Son thorax n’était plus qu’une vague forme rouge vif, tout ce qui devait être gardé à l’intérieur était maintenant visible dans une abjecte réalité. Mais cette vision macabre n’aurait pas suffi à répugner un soldat rompu aux visions de champs de bataille, non, l’insigne horreur se trouvait au-dessus du cadavre. Deux femmes aux mains rouges regardaient le spectacle d’un sourire sadique en portant à leur bouche un sanguinolent morceau de vie qu’elles croquaient avec passion. C’était elles qui avaient fait cela… elles qui avaient corrompu le corps au sol, qui lui avait arraché les membres dans un rituel sans nom, elles… les psychopathes !

Le Capitaine se rua sur elles en compagnie de ses hommes. Ils leur assénèrent un violent coup du manche de leurs armes derrière le crane sans qu’elles paraissent sortir une seconde de leur transe. Elles s’effondrèrent au sol, inconscientes. Un des soldats, le plus jeune de la troupes, sortit précipitamment de la pièce afin de répondre au besoin physique de répulsion qu’il avait ressenti.
Deux soldats amenèrent un homme fort bien bâti. Il avait l’air d’être ailleurs, comme s’il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, on le fit asseoir dans la salle commune où on avait couvert le corps d’un linge, et on lui donna de la viande sèche et de l’eau en essayant de lui expliquer que tout cela était maintenant fini, qu’il était sauvé. On le pressa de questions sur ce qui s’était passé ici, car une rapide inspection des lieux avait mis à jours un nombre de cadavre impressionnant et tous aussi mutilé que la pauvre demoiselle de la salle commune.

De La Chandelle trouva un petit bureau et s’y installa un instant pour essayer de récupérer de ses émotions sans que ses hommes le voient. Il parcourut du regard la petite pièce bien rangée et s’arrêta intrigué sur un petit bout de cuir qui dépassait de dessous une malle. Il la souleva et sortit de sa cachette un petit carnet relié de cuir. Il ouvrit la première page et lut les mots écrits en rouge « Journal d’Alvin, ou comment j’ai réduit Arkham au silence »
Il allait tourner la page lorsqu’un de ses hommes entra en trombe dans le bureau.


Chef ! Chef ! les filles ! elles se sont échappées !

Il mit le journal dans sa poche et sortit précipitamment de la pièce….

[Mort de Floei, Simple Malade.
Les Psychopathes gagnent cette partie !
Sylojuma et Enduril ont réussi à échapper aux votes et aux poisons et ont trucidé jusqu’à l’avant dernier des simples malades ! Félicitations !
Zach, Simple d’esprit a réussi à s’en sortir vivant…. Peut être parce qu’il était l’amant de Sylo… allez savoir.
Bientôt sera publié le « Journal d’Alvin » où vous pourrez lire les dessous de cette macabre affaire…
Merci à vous tous pour ce RP !]
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